[hj pardon pour le lenteur de ma réponse. Love. Ringo.]
Quelque temps avant la nuit qui changea le visage de l'Amérique, un mal plus profond que le Crâne Rouge, plus puissant que Fatalis et plus terrifiant que Hulk arrive aux États-Unis, le vuvuzela. Ce petit instrument, dont il était difficile de moduler le volume du son qui en sortait, avait envahi le futur territoire du Caïd et des autres super-vilains. La libération fût difficile à obtenir mais, et c'est une raison de sa popularité, le Caïd prit la décision difficile et courageuse de rendre ces cornes illégales et de bruler les utilisateurs. Grâce à la force de décision et des troupes du maitre des lieux, plus personne n'osait en utiliser dans le Rice-Eccles Stadium et seul quelques riches collectionneurs, ils étaient rare à ne pas avoir été spolié, en possédaient encore une ou deux.
C'est dans cette arène qu'allait avoir lieu le dernier spectacle mettant en scène le dernier hérité de Magnus, une nouvelle fois. Il avait d'abord été prévu de lâcher le kree, l'arme la puissante du Caïd et le champion de ces lieux, mais il n'avait pas été retrouvé alors l'assassin du père allait devoir tuer le fils.
Tous ces problèmes avait considérablement affaibli le Caïd et il comptait sur la mort d'un de ses concurrents les plus acharnés, de ses mains, pour redorer son blason et raffermir son autorité sur les grattes caisses du royaumes.
"Bienvenue au Rice-Eccles Stadium pour l'exécution publique du descendant du tyran mutant." lança le présentateur.
A ces mots, deux hommes de mains entrèrent dans le stade transportant Maxime Xavier, passablement pré-tabassé, un inhibiteur au cou. Le combat allait être assez rapide et inégal mais le Caïd devait montrer ce qu'il en coutait à ceux qui remettait son autorité en doute, il était pas là pour défendre un quelconque honneur.
"Et pour le combattre, notre seigneur et maître, le Caïd."
Il entra alors par une autre porte, sous les applaudissements de son peuple, armé d'u...
"Bbbbbbvvvvvv"
"Pan."
Un fou, sûrement un disciple de Xavier, avait apporté sa corne sud-africaine et avait prit une balle tiré du centre de l'arène vers ses hauteurs par le Caïd qui n'avait pas perdu ses yeux d'aigle.
"La prochaine balle est pour toi Maxime."
"Ouuuuaaaaaaaaaaais. Qui ne saute pas est un mutant-tant." hurlèrent les spectateurs.
Quelque temps avant la nuit qui changea le visage de l'Amérique, un mal plus profond que le Crâne Rouge, plus puissant que Fatalis et plus terrifiant que Hulk arrive aux États-Unis, le vuvuzela. Ce petit instrument, dont il était difficile de moduler le volume du son qui en sortait, avait envahi le futur territoire du Caïd et des autres super-vilains. La libération fût difficile à obtenir mais, et c'est une raison de sa popularité, le Caïd prit la décision difficile et courageuse de rendre ces cornes illégales et de bruler les utilisateurs. Grâce à la force de décision et des troupes du maitre des lieux, plus personne n'osait en utiliser dans le Rice-Eccles Stadium et seul quelques riches collectionneurs, ils étaient rare à ne pas avoir été spolié, en possédaient encore une ou deux.
C'est dans cette arène qu'allait avoir lieu le dernier spectacle mettant en scène le dernier hérité de Magnus, une nouvelle fois. Il avait d'abord été prévu de lâcher le kree, l'arme la puissante du Caïd et le champion de ces lieux, mais il n'avait pas été retrouvé alors l'assassin du père allait devoir tuer le fils.
Tous ces problèmes avait considérablement affaibli le Caïd et il comptait sur la mort d'un de ses concurrents les plus acharnés, de ses mains, pour redorer son blason et raffermir son autorité sur les grattes caisses du royaumes.
"Bienvenue au Rice-Eccles Stadium pour l'exécution publique du descendant du tyran mutant." lança le présentateur.
A ces mots, deux hommes de mains entrèrent dans le stade transportant Maxime Xavier, passablement pré-tabassé, un inhibiteur au cou. Le combat allait être assez rapide et inégal mais le Caïd devait montrer ce qu'il en coutait à ceux qui remettait son autorité en doute, il était pas là pour défendre un quelconque honneur.
"Et pour le combattre, notre seigneur et maître, le Caïd."
Il entra alors par une autre porte, sous les applaudissements de son peuple, armé d'u...
"Bbbbbbvvvvvv"
"Pan."
Un fou, sûrement un disciple de Xavier, avait apporté sa corne sud-africaine et avait prit une balle tiré du centre de l'arène vers ses hauteurs par le Caïd qui n'avait pas perdu ses yeux d'aigle.
"La prochaine balle est pour toi Maxime."
"Ouuuuaaaaaaaaaaais. Qui ne saute pas est un mutant-tant." hurlèrent les spectateurs.